
« L’ennemi est là, liquide, difficile à saisir. Aujourd’hui je ne l’ai pas vu, et pour cause, hier il m’a terrassé. ».
Phrase postée hier sur ce site, sous une photo de la mer de nuit. Un assemblage prêtant à confusion. L’ennemi n’est pas la mer. L’ennemi est un mal qui m’empoisonne depuis très longtemps. Depuis un temps si long qu’il m’a fait oublier la première fois où l’ennemi a pénétré mon organisme. Les traces du viol se sont effacées de ma mémoire.
Sa technique pour m’amener à le remettre en moi ? M’angoisser. Me triturer le cerveau. Comment ? Ho ! les scientifiques ont quelques pistes.